Les JLR disent clairement oui à AVS21, oui à la réforme de l’impôt anticipé et non à l’initiative contre l’élevage intensif
A l’occasion de leur assemblée des délégués hier, une centaine de jeunes libéraux-radicaux (JLR) de toute la Suisse se sont réunis à Baden (AG) afin d’adopter les mots d’ordre pour les votations de septembre. Les JLR disent clairement oui à AVS21, oui à la réforme de l’impôt anticipé et non à l’initiative contre l’élevage intensif.
2 x oui à AVS21 – la raison plutôt que l’idéologie !
L’AVS se dirige financièrement vers le gouffre. L’évolution démographique aggrave ce problème. L’alignement de l’âge de la retraite des femmes sur celui des hommes assure une plus grande égalité – également au niveau de l’âge de la retraite. Grâce à AVS21, le versement de la rente peut être déterminé de manière flexible entre 63 et 70 ans. Les personnes peuvent ainsi adapter le montant de leur retraite à leurs propres besoins. Enfin, avec l’augmentation de la TVA de 0,4 point de pourcentage en faveur de l’AVS, tout le monde apporte sa contribution à la sauvegarde de la plus importante des œuvres sociales. Pour les jeunes libéraux-radicaux, AVS21 est un pas important dans la bonne direction. L’AVS sera ainsi stabilisée financièrement jusqu’en 2030. Ensuite, il faudra enfin une réforme durable, c’est-à-dire structurelle, qui garantisse l’AVS à long terme. C’est là que l’initiative sur les rentes des jeunes libéraux-radicaux entre en jeu : en liant l’âge de la retraite à l’espérance de vie, nous rendons l’AVS durablement finançable et renforçons ainsi la prévoyance vieillesse.
Oui à la réforme de l’impôt anticipé
L’actuel impôt anticipé chasse les financements des entreprises à l’étranger. Les entreprises suisses actives au niveau international se procurent par contrainte de l’argent à l’étranger, car c’est le seul endroit où elles peuvent attirer des investisseurs internationaux. Des millions de recettes fiscales et d’opportunités commerciales sont ainsi gaspillés à l’étranger. L’abolition de l’impôt anticipé garantit l’égalité des chances en Suisse.
Non à l’initiative contre l’élevage intensif en Suisse
Les prescriptions relatives à l’élevage d’animaux concernant la détention, les soins, l’accès à l’extérieur et l’abattage seraient massivement restreintes si l’initiative était acceptée. La Suisse dispose déjà d’une des législations les plus strictes au monde en matière de protection des animaux.