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Lutte contre l’antisémitisme : Les Jeunes Libéraux-Radicaux reconnaissent la définition de l’antisémitisme de l’IHRA et appellent les autres jeunesses de partis à agir !

L’augmentation de l’antisémitisme en Suisse inquiète : Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses adoptent la définition officielle de l’antisémitisme de l’IHRA et demandent aux autres jeunesses de partis de lutter contre ce phénomène.

 

L’antisémitisme augmente : l’année dernière, la Fédération Suisse des Communautés Israélites (FSCI) a recensé 155 incidents antisémites, soit une augmentation massive et sans précédent par rapport à l’année précédente (2022 : 57). Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses sont profondément préoccupés par la recrudescence de l’antisémitisme en Suisse, qui se manifeste malheureusement également par des agressions réelles et des attaques graves. L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre société. C’est pourquoi les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses ont décidé, en tant que première jeunesse de parti en Suisse, de reconnaître officiellement la définition de travail de l’antisémitisme formulée par l’International Holocaust Remembrance Alliance (IHRA). Le comité du parti a adopté à l’unanimité la définition suivante lors de sa dernière séance :

 

“L’antisémitisme est une certaine perception des Juifs qui peut se manifester par une haine à leur égard. Les manifestations rhétoriques et physiques de l’antisémitisme visent des individus juifs ou non et/ou leurs biens, des institutions communautaires et des lieux de culte.”

 

Cette définition servira à l’avenir aux Jeunes Libéraux-Radicaux, notamment pour enregistrer de manière cohérente et systématique les incidents antisémites, les rendre comparables et prendre des décisions fondées sur des bases objectives. Ces dernières années, plusieurs partis suisses ont adopté cette définition, dont le PLR, les Vert’libéraux, Le Centre ainsi que le PS. Malheureusement, les Verts et l’UDC n’ont pas encore pris de décision officielle à ce sujet.

 

Nous appelons tous les partis à adopter la définition de l’IHRA et à donner ainsi un signal et des limites claires contre l’antisémitisme.

 

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses, souligne : « La recrudescence des incidents à motivation antisémite m’inquiète profondément. Avec l’adoption de la définition officielle de l’antisémitisme de l’IHRA, nous envoyons un signal fort contre l’antisémitisme. En tant que jeunes générations, nous avons la responsabilité de construire un avenir sans antisémitisme. Les autres partis doivent maintenant prendre leurs responsabilités. »

En finir avec le financement étatique de la politique : les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent l’arrêt des subventions pour les partis et les syndicats de jeunes afin d’atteindre les objectifs du Conseil fédéral en matière d’économies

La Confédération doit faire des économies ! Pour la mise en œuvre concrète de cet objectif, le Conseil fédéral a présenté en septembre diverses, parmi lesquelles nous trouvons la réduction de 10% des subventions pour l’encouragement des enfants et des jeunes. Les partis  et les syndicats de jeunes (par ex. les Jeunes Socialistes, les Jeunes UDC, la Jeunesse Unia, Travail.Suisse, mais aussi  les Jeunes Libéraux-Radicaux) font aussi partie des bénéficiaires de ces subventions fédérales.

 

Le Conseil suisse des activités de jeunesse (CSAJ) et d’autres associations demandent dans une pétition que la Conseil fédéral renonce à une réduction du crédit de la LEEJ. Mais si tout le monde monte au créneau dès qu’il est lui-même concerné, il ne sera pas possible de faire des économies. Par la suite, il faudrait inévitablement augmenter les impôts, ce que les Jeunes Libéraux-Radicaux veulent éviter à tout prix.

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux reconnaissent le rôle important des associations pour les enfants et les jeunes. Toutefois, pour atteindre l’objectif du Conseil fédéral, des coupes sont nécessaires. Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent donc que la Confédération supprime les subventions pour les partis et syndicats de jeunes sans les remplacer. Si les fonds qui leurs sont aujourd’hui alloués sont supprimés, la Confédération économisera plus d’un million de francs par an. Cela correspond à 14% des subventions selon l’art. 7, al. 2 de la LEEJ. Si l’on renonce à subventionner les organisations politique, il faudra économiser moins sur les autres types d’organisations de jeunes, comme les scouts par exemple. Les Jeunes Libéraux-Radicaux appellent l’ensemble des partis et syndicats de jeunes à se joindre à cette revendication.

 

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, constate : « Les partis et syndicats de jeunes ne devraient plus être financés par l’argent du contribuable. Avec notre demande de suppression du soutien financier à ces organisations, tous les camps politiques seraient touchés de la même manière. » Lüthy poursuit : « Si toutes les organisations politiques jouent le jeu, nous pourrons contribuer ensemble à rétablir l’équilibre des finances publiques suisses sans imposer de charge supplémentaire aux contribuables. »

Action : les Jeunes Libéraux-Radicaux illustrent symboliquement le véritable agenda politique de la gauche dans le cadre de la votation de la réforme LPP

Les électeurs voteront le 22 septembre 2024 sur la réforme de la LPP, suite au référendum lancé par les syndicats. Depuis la collecte des signatures, le pays est marqué par une campagne post-factuelle contre la réforme. Symboliquement, les Jeunes Libéraux-Radicaux ont représenté le véritable agenda de la gauche sur la place fédérale.

 

Action médiatique sur la place fédérale

Mercredi matin, les Jeunes Libéraux-Radicaux ont mené une action médiatique sur la place fédérale. Une installation de grande envergure a permis de symboliser le système des trois piliers. À l’image des actions des dirigeants du PS, le système des trois piliers a été détruit. Cela illustre symboliquement l’attaque actuelle de la gauche contre le système des trois piliers dans le cadre de la campagne de votation sur la réforme de la LPP.

 

L’agenda de la gauche démasqué : torpiller le système des trois piliers pour une rente populaire

La stratégie de la gauche est transparente : les syndicats, le PS et les Verts s’en prennent au deuxième pilier avec une obstination remarquable. Ils tentent de donner une mauvaise image du système suisse des trois piliers et de bloquer la réforme de la prévoyance professionnelle. Ils souhaiteraient abolir le système des trois piliers qui a fait pourtant ses preuves. Leur but: une prévoyance populaire basée uniquement sur le premier pilier. Dans les faits, un rejet de la réforme LPP renforcerait de telles idées.

 

Mettons fin à cette campagne de votation malhonnête

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, précise : « La campagne de votation menée avec malhonnêteté par les opposants à la LPP est un témoignage d’impuissance pour la gauche politique de notre pays. »

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent aux opposants à la réforme de la LPP d’être dorénavant honnêtes avec les électeurs, également en ce qui concerne leur réel but. Pour un maintien du système des trois piliers, la réforme de la LPP est impérative. Jonas Lüthy : « Pour nous les jeunes en particulier, la réforme de la LPP rétablit l’équité dans la prévoyance vieillesse. Un oui est donc particulièrement important pour une prévoyance vieillesse durable en Suisse. »

Moderniser la prévoyance professionnelle maintenant !

Communiqué de presse, Berne, le 6 août 2024
Jeunes Libéraux-Radicaux / Les jeunesses de parti disent OUI à la réforme de la LPP le 22 septembre 2024

Moderniser la prévoyance professionnelle maintenant !

 

L’alliance interpartis des Jeunes du Centre, des Jeunes Libéraux-Radicaux, des Jeunes Vert’libéraux et des Jeunes PEV se prononce en faveur de la réforme urgente de la LPP. Il est temps de moderniser notre prévoyance vieillesse ! La réforme comble les lacunes des rentes des personnes travaillant à temps partiel et des personnes à bas revenus. Et elle crée plus d’équité entre les générations. Pour les jeunes et les générations futures, cette votation revêt une importance considérable. Pour l’alliance, une chose est claire: notre prévoyance vieillesse ne doit pas être mise en danger à cause d’une politique de blocage idéologique.

Depuis plus de deux décennies, toutes les tentatives de réforme de la prévoyance professionnelle sont bloquées. Le temps est venu d’enfin lever ce blocage. Le 22 septembre, il sera décidé si le blocage des réformes pourra enfin être levé. Le projet revêt une importance considérable, notamment pour les jeunes.

La prévoyance professionnelle a urgemment besoin d’une mise à jour !
Jusqu’à aujourd’hui, la prévoyance professionnelle est fortement axée sur le modèle de l’après-guerre se basant sur un revenu au sein du ménage. Les revenus des emplois à temps partiel et des emplois multiples sont mal assurés. « Les temps ont changé : nous travaillons aujourd’hui à temps partiel, à temps plein et souvent pour plusieurs employeurs. De nombreux jeunes et une grande partie de la classe moyenne se partagent le travail rémunéré et la garde des enfants au sein du couple. Grâce à la réforme de la LPP, ils bénéficient d’une rente équitable à la retraite », explique Marc Rüdisüli, président des Jeunes du Centre. « Le système doit maintenant être adapté de manière à ce que les jeunes d’aujourd’hui puissent se constituer une retraite équitable. Tout travail mérite une rente équitable. Chaque génération mérite un système de prévoyance moderne », ajoute Marc Rüdisüli.

L’alliance critique la campagne de votation malhonnête des syndicats

L’alliance soutient clairement la réforme dans le sens de l’équité entre les générations. « Les syndicats voient les choses différemment et combattent un compromis largement soutenu avec une rhétorique agressive et populiste, avec une campagne qui répand malheureusement de nombreuses contre-vérités », fait remarquer Marc Rüdisüli.

La stratégie des syndicats est transparente : « Ils bloquent la réforme de la prévoyance professionnelle parce qu’ils préféreraient abolir le système éprouvé des trois piliers. Leur véritable objectif est une retraite populaire – une mission suicide pour le système de retraite suisse. La campagne de votation malhonnête des syndicats est un témoignage de faiblesse de la gauche », déclare Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux.

Pour une prévoyance vieillesse qui rétablit l’équité entre les générations
Jonas Lüthy souligne l’urgence du projet : « Actuellement, la population active, et en particulier les jeunes, se font arnaquer par un taux de conversion trop élevé. Cette redistribution des assurés qui travaillent vers les nouveaux retraités est immédiatement réduite par la réforme de la LPP – une étape nécessaire et juste ». Il est important de souligner qu’environ 85% des assurés ne sont pas concernés par la baisse du taux de conversion. « Celles et ceux qui veulent garantir le système des trois piliers pour l’avenir doivent approuver cette réforme. Spécialement pour nous les jeunes, elle apporte plus d’équité dans la prévoyance vieillesse », conclut Jonas Lüthy.

De nombreux jeunes s’inquiètent pour leur prévoyance vieillesse. « Les jeunes ont besoin d’un système de retraite dans lequel ils ont confiance, et qui tient ses promesses en vue de leur retraite. Notre système de retraite est un édifice dont l’équilibre repose sur la stabilité des trois piliers qui le soutiennent”, explique Gwenaël Richard, coprésident des Jeunes Vert’libéraux. « Le syndicaliste Pierre-Yves Maillard s’attaque au marteau-piqueur au deuxième pilier soutenant notre prévoyance vieillesse. Et nous sommes là pour débrancher ce marteau-piqueur », explique Gwenaël Richard.

Pour les retraités actuels, cette réforme ne change rien. Leurs rentes restent les mêmes. C’est à eux que Gwenaël Richard s’adresse : « J’invite tous les retraités à voter oui. Ils ne sont pas concernés par le projet, mais leurs enfants et petits-enfants continueront ainsi à profiter du système des trois piliers ».

Les femmes en particulier sont les gagnantes de la réforme de la LPP
Pour Lea Blattner, co-présidente des Jeunes PEV, la réforme représente un progrès important pour les femmes. « La réforme de la LPP améliore la prévoyance vieillesse et la sécurité financière de nombreuses femmes à la retraite », déclare Lea Blattner. Bien que les femmes et les hommes reçoivent la même rente dans l’AVS, la situation est différente dans la prévoyance professionnelle : un tiers des femmes ne sont jusqu’à présent pas assurées, ce qui contribue à la précarité des personnes âgées. « Sur les 359’000 personnes au total qui profiteront de cette réforme et recevront une rente plus élevée, 275’000 sont des femmes ». C’est pourquoi la réforme est soutenue, entre autres, par les paysannes et les femmes rurales, la ligue des femmes catholiques ainsi que l’alliance des organisations féminines suisses Alliance F.

La réforme de la LPP marque une étape importante pour nous, les jeunes. L’alliance des jeunesses de parti s’engage pour l’équité entre les générations et pour une prévoyance professionnelle moderne et adaptée à notre époque.

Début de saison du championnat suisse de football : carton rouge pour le modèle en cascade insensé & les sanctions collectives !

C’est avec une grande impatience que les supporters et les clubs attendent le début de la nouvelle saison de Super League. Le coup d’envoi de la nouvelle saison ne marque pas seulement le début de matchs passionnants, mais soulève également des questions sur le modèle en cascade nouvellement en vigueur. Les Jeunes Libéraux-Radicaux ont décerné un carton rouge au modèle de la CCDJP.

 

La baisse de la violence des supporters comme point de départ

Ces dernières années, les matchs de football ont régulièrement été le théâtre de violences et de dommages matériels. Le « tableau de la situation du sport en Suisse (GSLS-Reporting) » de la Plate-forme de coordination policière pour le sport (PCPS) montre toutefois que, depuis le début de l’enquête, il n’y a jamais eu aussi peu de cas d’affrontements violents graves en Super League, par rapport au nombre de matches, que lors de la saison 2023/24. Et ce, à une époque où de plus en plus de supporters affluent dans les stades.

 

Modèle en cascade contre-productif de la CCDJP

Malgré la baisse de la violence, la CCDJP mise, à partir de cette saison, sur le modèle dit en cascade, comme cela a été annoncé en mars de l’année dernière. Il ressort de la pratique ainsi que de différentes études scientifiques que les punitions collectives conduisent le plus souvent à une solidarité entre les supporters avec un potentiel d’escalade supplémentaire. Les sanctions collectives en réponse au comportement d’individus et les restrictions qu’elles peuvent entraîner pour d’innombrables personnes pacifiques et non impliquées sont inacceptables pour la ligue et les clubs et témoignent de l’impuissance et du désarroi des autorités. Il est donc compréhensible que la Swiss Football League (SFL) et les clubs de football rejettent unanimement ce modèle. Pour Jonas Lüthy, Président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair que « les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse condamnent la violence des supporters sous toutes ses formes. Le modèle en cascade de la CCDJP est toutefois disproportionné et totalement inadapté en raison de la criminalisation globale des supporters de football, de la responsabilité causale et des peines collectives. Ceci est particulièrement vrai au vu du recul de la violence des supporters et des connaissances scientifiques concernant la dynamique des groupes de supporters ».

 

Douteux du point de vue de l’État de droit – Les punitions collectives sont indignes d’un État de droit liberal

Le fondement juridique des punitions collectives doit pour le moins être remis en question. Pour qu’une mesure étatique soit proportionnée, elle doit, selon la jurisprudence du Tribunal fédéral, poursuivre un but légitime, être appropriée, nécessaire et proportionnée. Les fermetures de secteurs, les matches à huis clos et les annulations de matches sont certes possibles en vertu de la loi, mais dans de nombreux cas, ils ne sont ni appropriés, ni conformes à l’objectif, ni nécessaires ou proportionnés pour empêcher de futurs actes de violence. En bref, le modèle en cascade mélange prévention et répression avec les sanctions collectives, ce modèle est indigne d’un État de droit libéral.

 

Des mesures de désescalade sont nécessaires

Pour les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair qu’il faut agir pour réduire les débordements de supporters autour des matchs de football. Comme dans d’autres domaines, une répression trop forte n’est que partiellement prometteuse pour empêcher la délinquance. Outre les approches coopératives, telles qu’un dialogue accru, il est nécessaire de renforcer les mesures d’identification des auteurs et de poursuite des délinquants individuels.

La grève des femmes utilisée pour servir l’agenda politique de la gauche – les femmes bourgeoises ripostent !

La grève des femmes utilisée pour servir l’agenda politique de la gauche – les femmes bourgeoises ripostent !

 

Cette année, la grève féministe se déroule sous le mot d’ordre « Non à l’arnaque sur nos rentes LPP ». Les jeunes politiciennes bourgeoises ne se laissent pas faire.

 

Plusieurs femmes des Jeunes Libéraux-Radicaux, des Jeunes du Centre et des Jeunes UDC prennent part à la grève des femmes en protestant en faveur de la réforme de la LPP sur laquelle nous voterons le 22 septembre prochain. La réforme comble les lacunes actuelles dans le 2ème pilier pour les personnes travaillant à temps partiel ou cumulant plusieurs jobs. Les femmes en profiteront tout particulièrement.

 

Une étude réalisée sur mandat de l’organisation faîtière des femmes alliance F a montré que la réforme de la LPP permettra à quelque 359’000 personnes, dont 275’000 femmes, d’obtenir une rente plus élevée. Les femmes profitent donc bien plus que la moyenne de la réforme.

 

Les syndicats instrumentalisent de plus en plus la grève des femmes pour leurs intérêts politiques, en attisant peurs et incertitudes. Les femmes des jeunes partis bourgeois se défendent. La réforme de la LPP est un compromis largement soutenu. Celles et ceux qui défendent les intérêts des femmes voteront clairement OUI à la réforme de la LPP le 22 septembre.

 

 

Melanie Racine, vice-présidente des Jeunes Radicaux Suisse

« Les syndicats et la gauche utilisent la grève des femmes pour leurs projets politiques. Nous, Jeunes Libéraux-Radicaux, nous y opposons. Les femmes sont une fois de plus présentées comme des victimes, alors que la réforme de la LPP apporte de nombreux avantages. Avec la réforme LPP, les personnes travaillant à temps partiel seront également assurées ».

 

Nina Gisler, vice-présidente des Jeunes du Centre Suisse

« En Suisse, les rentes des femmes sont inférieures d’environ un tiers à celles des hommes. La réforme de la LPP est une étape importante dans la résolution de ce problème : elle permet enfin de mieux assurer le travail à temps partiel et les bas salaires, ce dont profiteraient de nombreuses femmes. »

Action : les Jeunes Libéraux-Radicaux présentent au PS, devant son secrétariat central, une facture de 157’000’000’000 CHF pour sa liste de souhaits politiques  

Action : les Jeunes Libéraux-Radicaux présentent au PS, devant son secrétariat central, une facture de 157’000’000’000 CHF pour sa liste de souhaits politiques

 

Afin d’attirer l’attention sur les conséquences financières des projets coûteux du PS, les Jeunes Libéraux-Radicaux se sont rassemblés devant le secrétariat général des socialistes et ont présenté au PS une facture de 157’000’000’000 CHF par an pour sa liste de souhaits politiques.

 

La politique du PS pèse sur la classe moyenne

 

L’initiative sur les primes du PS entraînera à elle seule jusqu’à 11,7 milliards de CHF de coûts supplémentaires par an pour la Confédération et les cantons en 2030. Mais ce n’est pas tout ! La liste des souhaits du PS comprend également d’autres projets, comme par exemple la semaine de 35 heures, qui ne correspond pas à la réalité. L’ensemble de ces projets entraîne des coûts supplémentaires d’environ 157’000’000’000 CHF par an. La question de savoir où trouver cet argent reste ouverte. Pour Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair que « le PS oublie que chaque franc doit d’abord être gagné avant d’être dépensé.  Au final, c’est la classe moyenne qui devrait payer la coûteuse liste de souhaits du PS. Ironiquement, c’est précisément le groupe que le PS prétend vouloir soulager qui sera mis à contribution avec des projets à plusieurs milliards ».

 

L’initiative sur les primes coûte deux fois plus cher que la 13e rente AVS. Trop c’est trop !

 

L’initiative sur les primes, qui sera bientôt soumise au vote, est l’exemple le plus récent de la politique erronée des socialistes. La quittance pour cette réduction globale des primes serait une augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) allant jusqu’à 2,3 points de pourcentage et une hausse des impôts cantonaux. C’est la classe moyenne qui passerait à la caisse. En outre, l’initiative sur les primes ne fait que s’attaquer aux symptômes. Alors qu’elle ne règle pas les problèmes effectifs du système de santé, elle crée de graves incitations négatives. La motivation pour un comportement conscient des coûts des payeurs de primes disparaît.

 

Propagande syndicale dans le livret de vote : les Jeunes Libéraux-Radicaux déposent un recours en votation sur l’initiative « pour un frein aux coûts »

Les Jeunes Libéraux-Radicaux ont déposé un recours en votation dans trois cantons. A Zurich, Bâle et Berne, ils demandent, en tant que plaignants, aux gouvernements cantonaux de rectifier les documents de vote trompeurs et d’informer la population de manière appropriée et correcte. En outre, les Jeunes Libéraux-Radicaux ont déposé une requête auprès de la Confédération, demandant au Conseil fédéral de corriger de manière claire et compréhensible les informations trompeuses concernant l’initiative pour un frein aux coûts.

 

Graphique trompeur dans le livret de vote

 

Dans le livret de vote de la Confédération, un graphique illustre comment les coûts de l’assurance maladie obligatoire ont évolué depuis 2012 (p. 23 des explications de vote). Si l’on compare cette croissance des coûts en pourcentage avec l’évolution de l’économie dans son ensemble ou avec les salaires médians, on obtient un tableau prétendument sombre. Les salaires seraient apparemment annulés par la hausse rapide des primes d’assurance maladie. Or, le graphique présenté déforme énormément les proportions des coûts. Alors que sur la représentation de la Confédération, une augmentation de 1% des coûts de la santé de l’AOS représente des coûts supplémentaires de 33 CHF, une augmentation de 1% des salaires médians représente des recettes supplémentaires de 786 CHF. En d’autres termes, le livret de vote fait du catastrophisme avec les pourcentages. En francs, les salaires augmentent massivement plus que les primes d’assurance maladie. La présentation exclusivement en pourcentage ne montre pas l’évolution pertinente et contrevient ainsi clairement au mandat des autorités d’informer de manière neutre.

 

La Confédération diffuse de la propagande syndicale

 

L’Union syndicale suisse (USS) et le PS utilisent des graphiques trompeurs de ce type depuis des décennies. En 1986 déjà, une campagne suggérait ainsi que la croissance des primes annulait la croissance des salaires depuis 1966. Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, constate : « Le fait que la Confédération utilise les tactiques d’information trompeuses des syndicats est très irritant. Les graphiques tendancieux de groupes d’intérêts n’ont rien à faire dans le livret de vote. L’électorat doit pouvoir se fier aux informations fournies par l’Etat. Des informations pertinentes sont un pilier de notre démocratie directe ».

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux disent non à l’initiative pour un frein aux coûts

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux rejettent clairement le mécanisme absurde de l’initiative pour un frein aux coûts. L’initiative met entre parenthèses la qualité des soins médicaux et consiste en des règles rigides qui paralysent le système. Avec la guillotine des coûts, l’initiative menace de restreindre l’accès au progrès médical et d’empêcher les innovations. Cela met en danger la qualité de nos soins suisses.

Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent l’abolition du 1er mai comme jour férié

 

Année après année, la gauche et les syndicats défilent dans les rues pour célébrer le 1er mai. Si cela provoque un certain chaos, le contenu même de cette célébration semble erroné. Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent l’abolition du 1er mai en tant que jour férié légal.

Rien à fêter – un jour férié légal entraîne une perte de prospérité 

Dans les cantons de Zurich, Bâle, Neuchâtel ou le Jura, le 1er mai est reconnu comme jour férié officiel. Pourtant, au vu des restrictions toujours plus nombreuses de la liberté économique, l’heure n’est pas à la fête. D’autre part, ce jour férié légal entraîne une perte de prospérité. Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent donc la suppression du 1er mai comme jour férié. Pour Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair que « la gauche ne peut pas faire la promotion de son programme politique aux frais de la collectivité, ce qui n’est d’ailleurs pas un service pour la population qui travaille. Le 1er mai en tant que jour férié légal doit être aboli ».

Les revendications du 1er mai nuisent à la classe moyenne

Dans son appel du 1er mai, l’Union syndicale suisse fait par exemple de la publicité pour l’initiative du PS visant à alléger les primes. Il convient de noter que l’initiative correspondante entraînerait plus de 11 milliards de francs de coûts supplémentaires annuels pour la Confédération et les cantons d’ici à 2030. La conséquence de la réduction des primes serait une augmentation de la TVA jusqu’à 2,3 points de pourcentage et des impôts cantonaux en hausse. Un ménage moyen devrait payer 1 200 francs par an rien qu’en raison de la hausse de la TVA.

Une fois de plus, sous couvert de lutte pour les personnes qui travaillent, on exige une politique qui pèserait précisément sur ce groupe.

Renforcer la prospérité, attaquer le problème à la racine

Pour contribuer réellement à l’amélioration de la situation économique des travailleurs et travailleuses, il est temps de réduire la charge des impôts et des taxes.  Les conditions-cadres de la place économique suisse doivent être améliorées et l’esprit d’entreprise doit être encouragé.

Six jeunes partis, des Jeunes Libéraux-Radicaux à la Jeunesse Socialiste, demandent à la direction des Jeunes UDC Suisse de se distancer clairement des personnes et des contenus d’extrême droite.

Six jeunes partis, des Jeunes Libéraux-Radicaux à la Jeunesse Socialiste, demandent à la direction des Jeunes UDC Suisse de se distancer clairement des personnes et des contenus d’extrême droite.

 

Depuis que les Jeunes UDC d’Argovie se sont rapprochés de l’extrémiste de droite Martin Sellner il y a deux semaines, la direction des Jeunes UDC Suisse et leur parti mère refusent de se distancer clairement de l’extrémisme de droite.

 

Le manque évident de distance par rapport aux contenus d’extrême droite est une réelle source d’inquiétude. Une ligne rouge est ici franchie. Les milieux d’extrême droite comme Junge Tat ou Martin Sellner sont un danger pour une société basée sur l’ouverture, l’État de droit libéral et la démocratie. Leur politique incendiaire doit être stoppée. Il faut nommer clairement cet extrémisme de droite : il s’agit de la pensée des néonazis. Le Junge Tat réclame entre autres la « remigration », c’est-à-dire l’expulsion des personnes issues de l’immigration. Ces idées antidémocratiques ne doivent pas être normalisées. Par leur silence et leur proximité avec les milieux d’extrême droite et autoritaires, c’est pourtant ce que font les dirigeants des Jeunes UDC Suisse.

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux, la Jeunesse Socialiste, les Jeunes du Centre, les Jeunes Vert•e•x•s les Jeunes Verts’libéraux et les Jeunes PEV condamnent toute forme d’extrémisme et demandent à la direction du parti des Jeunes UDC et à son président Nils Fiechter de se distancer systématiquement des personnes et des contenus d’extrême droite.

 

Jonas Lüthy, Président Jeunes Libéraux-Radicaux

« La direction du parti des Jeunes UDC a maintenant le devoir de se démarquer systématiquement de l’extrémisme de droite. L’extrémisme de droite n’a pas sa place dans notre société. Nous, les jeunes partis, nous regardons au-delà des clivages politiques et faisons front commun pour nous défendre contre l’extrémisme sous toutes ses formes et pour protéger l’ordre fondamental libéral.”

 

Marc Rüdisüli, Président des Jeunes du Centre

“Je suis consterné de voir que la direction du parti des JUDC Suisse ne se distancie pas clairement de Junge Tat et de Martin Sellner. Un regard sur l’histoire devrait suffire pour se distancer de telles idéologies dangereuses et antidémocratiques. Leur silence en dit long. Les idées d’extrême droite ne doivent pas être normalisées.”

 

Nicola Siegrist, Président Jeunesse socialiste

« Si les Jeunes UDC ne se distancient pas systématiquement du Junge Tat et de Martin Sellner, tant au niveau personnel que du contenu, cela confirmerait ce que nous critiquons depuis longtemps. De telles idéologies antidémocratiques et inhumaines n’ont pas leur place dans notre société. »

 

Matthieu Besse, Comité des Jeunes Vert·e·x·s

 

Gwenaël Richard, Co-président Jeunes Vert’libéraux

“En flirtant avec l’extrême-droite, la direction des Jeunes UDC fraternise avec une idéologie inhumaine et dangereuse pour notre société. Au lieu de s’en rapprocher, le président de ce parti doit impérativement prendre ses distances avec les groupuscules remettant en question les fondements de la démocratie et l’état de droit.”

 

Lea Blattner, Co-présidente Jeunes PEV

„Dans une démocratie il y a de la place pour des opinions politiques de gauche à droite, mais jamais pour l‘extrémisme. Les Jeunes UDC doivent clairement se démarquer de l‘organisation „Junge Tat“, de Martin Sellner et des leurs idéologies inhumaines.“