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Colonel Pfister, la capacité de défense doit être imposée !

Les Jeunes Libéraux-Radicaux suisses félicitent M. Pfister pour son élection au Conseil fédéral. La répartition des départements est désormais claire : le nouveau conseiller fédéral du Centre doit remettre en ordre le Département de la Défense (DDPS) – la réussite est impérative. Les enjeux sont trop importants.

 

Insécurité transatlantique : une Suisse sans protection sous pression
Martin Pfister doit agir, car la sécurité européenne est sous une pression extrême. La nouvelle administration américaine laisse planer un doute sérieux quant à son engagement militaire en faveur de l’Europe. Cette situation est d’autant plus préoccupante que l’Europe – et en son cœur la Suisse – a échoué à construire une infrastructure de sécurité suffisante. La capacité de défense de la Suisse, en tant que pays neutre et armé, doit être rétablie au plus vite.

 

Augmenter les dépenses de défense à au moins 2 % du PIB !
Seul un pays sûr permet à ses citoyens de s’épanouir librement. C’est pourquoi garantir la sécurité est la mission première d’un État libéral. Pour protéger la Suisse et restaurer sa capacité de défense, les Jeunes Libéraux-Radicaux suisses exigent davantage de fonds pour l’armée : d’ici 2030, le budget de la défense doit atteindre au moins 2 % du PIB. Un conseiller fédéral Pfister de premier ordre ne pourra réussir que si le Parlement lui alloue les ressources nécessaires.

 

Plus de défense, moins de subventions !
La restauration de la capacité de défense ne doit pas être financée par de nouvelles taxes. Le rapport sur les subventions de l’Institut de politique économique (IWP) révèle que, pour 2023, environ 38 milliards de francs de subventions sont, d’un point de vue théorique, discutables voire superflues, générant plus de nuisances que de bénéfices. Ainsi, en analysant le budget fédéral de 86.5 milliards de francs, on constate qu’un espace financier existe bel et bien, mais que la volonté politique manque pour accorder à la sécurité de la population suisse la priorité qu’elle mérite. Tous les acteurs, des chasseurs de subventions de gauche aux lobbies agricoles, doivent désormais accepter que l’ère des dividendes de la paix est révolue. Poursuivre comme auparavant ne doit plus être une option.

 

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux suisses, déclare : « De la capacité de défense suisse, il ne reste pratiquement plus rien. Le conseiller fédéral Pfister a la responsabilité de remettre de l’ordre au DDPS et de garantir que la Suisse puisse à nouveau se défendre militairement. Pour y parvenir, nous, Jeunes Libéraux-Radicaux, exigeons qu’au moins 2 % du PIB soient investis dans l’armée d’ici 2030. Il est également clair que cette restauration de notre capacité de défense ne doit pas être financée par de nouvelles taxes, car la Confédération dispose déjà de fonds en suffisance. »

 

Enfin, les Jeunes Libéraux-Radicaux remercient les rares candidats du Centre, Martin Pfister et Markus Ritter, d’avoir accepté de se porter candidats et d’assumer des responsabilités pour la Suisse. Nous souhaitons au conseiller fédéral Pfister beaucoup de force et de succès dans sa nouvelle fonction.

La révolution du vélo-cargo n’a pas lieu : les électeurs suisses rejettent le projet de pauvreté des jeunes verts !

L’initiative sur la responsabilité environnementale exigeait une réduction drastique de 67% de la consommation de ressources en seulement dix ans. Cela aurait non seulement réduit massivement la prospérité de la Suisse, mais aurait également nécessité des mesures coercitives extrêmes, déstabilisant ainsi l’économie et la société. Aujourd’hui, seuls des pays comme l’Afghanistan, Haïti ou Madagascar remplissent ces exigences – non pas en raison d’une innovation durable, mais en raison de leur faible niveau de prospérité. Les électeurs suisses ont bien fait d’enterrer l’initiative des Jeunes Verts en toute clarté.

 

La campagne des Jeunes Libéraux-Radicaux a convaincu

Avec leur campagne sur la police du climat, les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses ont montré quelles seraient les conséquences d’une acceptation de l’initiative dans la vie quotidienne. Le personnage de la campagne, la policière du climat, a été établi comme symbole largement efficace pour les mesures de contrainte étatiques qui menacent. Il a ainsi été possible de montrer comment notre quotidien aurait été bouleversé après l’acceptation hypothétique de l’initiative sur la responsabilité environnementale, respectivement quelles auraient été les restrictions drastiques qui nous auraient menacé. Malheureusement, la police climatique reste d’actualité au-delà du dimanche de la votation. Les Verts de gauche ne manqueront pas une occasion de vouloir intervenir dans la vie de la population suisse par des prescriptions et des interdictions. Les Jeunes Libéraux-Radicaux continueront de s’y opposer avec engagement.

 

Résultat très clair : la révolution des vélos-cargos n’a pas eu lieu

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses, évalue le résultat provisoire de la votation comme suit : « Jusqu’à présent, les citoyens suisses ont généralement reconnu que les initiatives dépassaient largement leur objectif et avaient un effet contre-productif, le résultat n’est donc pas très surprenant. Néanmoins, ce résultat clair est extrêmement réjouissant. Il est clair que la population suisse n’est pas intéressée par une révolution verte des vélos-cargos. Il faut continuer à s’attaquer aux défis du changement climatique et les résoudre avec des idées adaptées à la réalité. »

 

La voie est libre pour une politique climatique libérale

Par le passé déjà, la Suisse a montré que croissance économique et protection du climat n’étaient pas contradictoires : Depuis 1990, la Suisse a plus que doublé sa création de valeur industrielle grâce au progrès et à l’innovation, tout en réduisant ses émissions de près de la moitié. Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses soutiennent les engagements que la Suisse a pris en signant l’Accord de Paris. Ceux-ci doivent être mis en œuvre en tenant compte de la transparence des coûts et du principe du pollueur-payeur. Contrairement à ce qu’aurait entraîné l’initiative, la politique climatique suisse doit être effectivement durable et pouvoir être soutenue par toutes les couches de la société.

L’initiative pour la responsabilité environnementale catapulte la Suisse à l’Âge de pierre

Le 9 février 2025, les électeurs suisses voteront sur l’initiative sur la responsabilité environnementale, lancée par les Jeunes Verts. Avec cette initiative, des restrictions drastiques menacent. En l’espace de dix ans, la Suisse devrait réduire sa consommation de ressources de plus de deux tiers. Le Conseil fédéral et le Parlement rejettent ce projet extrême sans contre-projet. Afin de mettre en évidence les vastes conséquences négatives de l’initiative, les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses ont mené une action sur la Place fédérale.

 

Action sur la Place fédérale

Jeudi matin, les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses ont mené une action sur la Place fédérale. Symboliquement, une mise en scène de l’Âge de pierre a permis d’illustrer les conséquences terribles qu’aurait l’acceptation de l’initiative pour la population. Melanie Racine, vice-présidente des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses, constate : « Avec la mise en scène de l’Âge de pierre, nous illustrons à quel point les exigences de l’initiative sur la responsabilité environnementale sont utopiques et extrêmes. Une acceptation de l’initiative catapulterait la Suisse à l’Âge de pierre. Elle ne nuit pas seulement à l’économie, mais entraîne aussi une perte massive de prospérité, de qualité de vie et de perspectives d’avenir ».

 

Initiative utopique de l’Âge de pierre

L’initiative pour la responsabilité environnementale exige que la population et l’économie réduisent leur consommation de ressources de telle sorte que les limites planétaires ne soient plus dépassées d’ici 2035. Aujourd’hui, seuls des États comme l’Afghanistan, Haïti ou Madagascar remplissent les exigences de l’initiative. Cela s’explique par leur faible niveau de prospérité et non par une utilisation efficace des ressources. La performance économique de ces pays est en moyenne 80 fois inférieure à celle de la Suisse. Si la Suisse doit également atteindre ce niveau, cela implique des mesures de contrainte extrêmes. Celles-ci détruisent l’économie et nuisent à la population.

 

La responsabilité plutôt que l’idéologie

La Suisse va de l’avant : elle a plus que doublé sa création de valeur industrielle depuis 1990, tout en réduisant ses émissions de près de moitié. Grâce au progrès et à l’innovation, nous respectons de plus en plus les limites planétaires. Mais cette évolution ne peut pas être imposée en quelques années sans accepter des reculs drastiques. L’initiative met en péril la prospérité de la Suisse, un pays très innovant qui contribue à la lutte contre le changement climatique. C’est pourquoi il faut rejeter cette initiative utopique.

Initiative de la JS : Que fait encore le PS au Conseil fédéral ?

Le Conseil fédéral a confirmé aujourd’hui son rejet, déjà décidé en mai, de l’initiative des Jeunes socialistes pour un impôt sur les successions et a adopté un message à ce sujet. Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses soutiennent la position du Conseil fédéral face à cette demande idéologique et de lutte des classes.

 

Soutien scandaleux par un parti du Conseil fédéral : que fait encore le PS au Conseil fédéral ?

Malgré le rejet de l’initiative de la Jeunesse socialiste par le Conseil fédéral, le positionnement des socialistes en tant que parti au Conseil fédéral est très discutable. Les chefs du PS Cédric Wermuth et Mattea Meyer ne font pas mystère de leurs convictions socialistes : Alors que nos pays voisins sont économiquement en crise et que l’Europe se dirige vers une récession, les camarades frappent le modèle de réussite suisse avec un marteau et une faucille. Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses, constate : « En soutenant l’initiative populaire des Jeunes Socialistes, les socialistes approuvent un projet qui met en péril des milliers d’emplois et provoque des dommages à hauteur de plusieurs milliards. C’est indigne d’un parti du Conseil fédéral ». Au lieu de flirter avec leur section de jeunes et le camarade Marx, les chefs du PS devraient réfléchir à la possibilité d’accéder à la revendication des JS et de quitter le Conseil fédéral.

 

Les entreprises familiales suisses en danger

Aucune exception à l’imposition, comme le demande l’initiative de la JS, n’est prévue, ni pour la transmission d’entreprises, ni pour les donations à des organisations d’utilité publique ou aux pouvoirs publics. Le fait que l’héritage ou la donation d’entreprises familiales d’une valeur supérieure à 50 millions de francs soit également imposé à 50% au minimum est particulièrement décisif pour l’économie. Dans la plupart des cas, cela devrait conduire au démantèlement de ces entreprises en raison de l’absence de liquidités.

 

Perte d’attractivité de la Suisse – menace de départ

Les deux tiers de l’impôt fédéral direct sont aujourd’hui générés par les quelque 5 pour cent de contribuables les plus aisés. En ce qui concerne l’impôt sur la fortune, on estime que plus de 44 pour cent des revenus proviennent des 1 pour cent les plus fortunés de la population. Le départ de ces personnes n’entraînerait pas seulement des pertes fiscales massives pour la Confédération, les cantons et les communes, mais mettrait aussi gravement en péril l’attractivité de la place économique suisse. Des pertes d’emplois et un recul du volume des investissements en seraient les conséquences tragiques.

 

Clause de rétroactivité préjudiciable – la classe moyenne paie les pertes fiscales

Comme l’initiative doit entrer directement en vigueur dès son acceptation et que la Confédération et les cantons doivent ordonner des mesures rétroactives pour éviter que l’impôt ne soit contourné, l’initiative a déjà un effet anticipé négatif. Les personnes concernées planifient déjà leur départ pour échapper à la menace d’expropriation. L’initiative conduit en premier lieu à l’élimination du substrat fiscal et atteint donc déjà exactement le contraire de ce qui est souhaité. Si les contribuables les plus performants sont chassés, il n’en résultera pas des milliards de recettes pour lutter contre le changement climatique, mais au contraire des pertes fiscales sensibles qui devront être compensées par la classe moyenne.

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses s’opposent fermement à la mise en danger de la compétitivité et des emplois et mèneront une lutte engagée contre cette initiative de spoliation.

Lutte contre l’antisémitisme : Les Jeunes Libéraux-Radicaux reconnaissent la définition de l’antisémitisme de l’IHRA et appellent les autres jeunesses de partis à agir !

L’augmentation de l’antisémitisme en Suisse inquiète : Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses adoptent la définition officielle de l’antisémitisme de l’IHRA et demandent aux autres jeunesses de partis de lutter contre ce phénomène.

 

L’antisémitisme augmente : l’année dernière, la Fédération Suisse des Communautés Israélites (FSCI) a recensé 155 incidents antisémites, soit une augmentation massive et sans précédent par rapport à l’année précédente (2022 : 57). Les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses sont profondément préoccupés par la recrudescence de l’antisémitisme en Suisse, qui se manifeste malheureusement également par des agressions réelles et des attaques graves. L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre société. C’est pourquoi les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses ont décidé, en tant que première jeunesse de parti en Suisse, de reconnaître officiellement la définition de travail de l’antisémitisme formulée par l’International Holocaust Remembrance Alliance (IHRA). Le comité du parti a adopté à l’unanimité la définition suivante lors de sa dernière séance :

 

“L’antisémitisme est une certaine perception des Juifs qui peut se manifester par une haine à leur égard. Les manifestations rhétoriques et physiques de l’antisémitisme visent des individus juifs ou non et/ou leurs biens, des institutions communautaires et des lieux de culte.”

 

Cette définition servira à l’avenir aux Jeunes Libéraux-Radicaux, notamment pour enregistrer de manière cohérente et systématique les incidents antisémites, les rendre comparables et prendre des décisions fondées sur des bases objectives. Ces dernières années, plusieurs partis suisses ont adopté cette définition, dont le PLR, les Vert’libéraux, Le Centre ainsi que le PS. Malheureusement, les Verts et l’UDC n’ont pas encore pris de décision officielle à ce sujet.

 

Nous appelons tous les partis à adopter la définition de l’IHRA et à donner ainsi un signal et des limites claires contre l’antisémitisme.

 

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisses, souligne : « La recrudescence des incidents à motivation antisémite m’inquiète profondément. Avec l’adoption de la définition officielle de l’antisémitisme de l’IHRA, nous envoyons un signal fort contre l’antisémitisme. En tant que jeunes générations, nous avons la responsabilité de construire un avenir sans antisémitisme. Les autres partis doivent maintenant prendre leurs responsabilités. »

En finir avec le financement étatique de la politique : les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent l’arrêt des subventions pour les partis et les syndicats de jeunes afin d’atteindre les objectifs du Conseil fédéral en matière d’économies

La Confédération doit faire des économies ! Pour la mise en œuvre concrète de cet objectif, le Conseil fédéral a présenté en septembre diverses, parmi lesquelles nous trouvons la réduction de 10% des subventions pour l’encouragement des enfants et des jeunes. Les partis  et les syndicats de jeunes (par ex. les Jeunes Socialistes, les Jeunes UDC, la Jeunesse Unia, Travail.Suisse, mais aussi  les Jeunes Libéraux-Radicaux) font aussi partie des bénéficiaires de ces subventions fédérales.

 

Le Conseil suisse des activités de jeunesse (CSAJ) et d’autres associations demandent dans une pétition que la Conseil fédéral renonce à une réduction du crédit de la LEEJ. Mais si tout le monde monte au créneau dès qu’il est lui-même concerné, il ne sera pas possible de faire des économies. Par la suite, il faudrait inévitablement augmenter les impôts, ce que les Jeunes Libéraux-Radicaux veulent éviter à tout prix.

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux reconnaissent le rôle important des associations pour les enfants et les jeunes. Toutefois, pour atteindre l’objectif du Conseil fédéral, des coupes sont nécessaires. Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent donc que la Confédération supprime les subventions pour les partis et syndicats de jeunes sans les remplacer. Si les fonds qui leurs sont aujourd’hui alloués sont supprimés, la Confédération économisera plus d’un million de francs par an. Cela correspond à 14% des subventions selon l’art. 7, al. 2 de la LEEJ. Si l’on renonce à subventionner les organisations politique, il faudra économiser moins sur les autres types d’organisations de jeunes, comme les scouts par exemple. Les Jeunes Libéraux-Radicaux appellent l’ensemble des partis et syndicats de jeunes à se joindre à cette revendication.

 

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, constate : « Les partis et syndicats de jeunes ne devraient plus être financés par l’argent du contribuable. Avec notre demande de suppression du soutien financier à ces organisations, tous les camps politiques seraient touchés de la même manière. » Lüthy poursuit : « Si toutes les organisations politiques jouent le jeu, nous pourrons contribuer ensemble à rétablir l’équilibre des finances publiques suisses sans imposer de charge supplémentaire aux contribuables. »

Action : les Jeunes Libéraux-Radicaux illustrent symboliquement le véritable agenda politique de la gauche dans le cadre de la votation de la réforme LPP

Les électeurs voteront le 22 septembre 2024 sur la réforme de la LPP, suite au référendum lancé par les syndicats. Depuis la collecte des signatures, le pays est marqué par une campagne post-factuelle contre la réforme. Symboliquement, les Jeunes Libéraux-Radicaux ont représenté le véritable agenda de la gauche sur la place fédérale.

 

Action médiatique sur la place fédérale

Mercredi matin, les Jeunes Libéraux-Radicaux ont mené une action médiatique sur la place fédérale. Une installation de grande envergure a permis de symboliser le système des trois piliers. À l’image des actions des dirigeants du PS, le système des trois piliers a été détruit. Cela illustre symboliquement l’attaque actuelle de la gauche contre le système des trois piliers dans le cadre de la campagne de votation sur la réforme de la LPP.

 

L’agenda de la gauche démasqué : torpiller le système des trois piliers pour une rente populaire

La stratégie de la gauche est transparente : les syndicats, le PS et les Verts s’en prennent au deuxième pilier avec une obstination remarquable. Ils tentent de donner une mauvaise image du système suisse des trois piliers et de bloquer la réforme de la prévoyance professionnelle. Ils souhaiteraient abolir le système des trois piliers qui a fait pourtant ses preuves. Leur but: une prévoyance populaire basée uniquement sur le premier pilier. Dans les faits, un rejet de la réforme LPP renforcerait de telles idées.

 

Mettons fin à cette campagne de votation malhonnête

Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, précise : « La campagne de votation menée avec malhonnêteté par les opposants à la LPP est un témoignage d’impuissance pour la gauche politique de notre pays. »

 

Les Jeunes Libéraux-Radicaux demandent aux opposants à la réforme de la LPP d’être dorénavant honnêtes avec les électeurs, également en ce qui concerne leur réel but. Pour un maintien du système des trois piliers, la réforme de la LPP est impérative. Jonas Lüthy : « Pour nous les jeunes en particulier, la réforme de la LPP rétablit l’équité dans la prévoyance vieillesse. Un oui est donc particulièrement important pour une prévoyance vieillesse durable en Suisse. »

Moderniser la prévoyance professionnelle maintenant !

Communiqué de presse, Berne, le 6 août 2024
Jeunes Libéraux-Radicaux / Les jeunesses de parti disent OUI à la réforme de la LPP le 22 septembre 2024

Moderniser la prévoyance professionnelle maintenant !

 

L’alliance interpartis des Jeunes du Centre, des Jeunes Libéraux-Radicaux, des Jeunes Vert’libéraux et des Jeunes PEV se prononce en faveur de la réforme urgente de la LPP. Il est temps de moderniser notre prévoyance vieillesse ! La réforme comble les lacunes des rentes des personnes travaillant à temps partiel et des personnes à bas revenus. Et elle crée plus d’équité entre les générations. Pour les jeunes et les générations futures, cette votation revêt une importance considérable. Pour l’alliance, une chose est claire: notre prévoyance vieillesse ne doit pas être mise en danger à cause d’une politique de blocage idéologique.

Depuis plus de deux décennies, toutes les tentatives de réforme de la prévoyance professionnelle sont bloquées. Le temps est venu d’enfin lever ce blocage. Le 22 septembre, il sera décidé si le blocage des réformes pourra enfin être levé. Le projet revêt une importance considérable, notamment pour les jeunes.

La prévoyance professionnelle a urgemment besoin d’une mise à jour !
Jusqu’à aujourd’hui, la prévoyance professionnelle est fortement axée sur le modèle de l’après-guerre se basant sur un revenu au sein du ménage. Les revenus des emplois à temps partiel et des emplois multiples sont mal assurés. “Les temps ont changé : nous travaillons aujourd’hui à temps partiel, à temps plein et souvent pour plusieurs employeurs. De nombreux jeunes et une grande partie de la classe moyenne se partagent le travail rémunéré et la garde des enfants au sein du couple. Grâce à la réforme de la LPP, ils bénéficient d’une rente équitable à la retraite”, explique Marc Rüdisüli, président des Jeunes du Centre. “Le système doit maintenant être adapté de manière à ce que les jeunes d’aujourd’hui puissent se constituer une retraite équitable. Tout travail mérite une rente équitable. Chaque génération mérite un système de prévoyance moderne”, ajoute Marc Rüdisüli.

L’alliance critique la campagne de votation malhonnête des syndicats

L’alliance soutient clairement la réforme dans le sens de l’équité entre les générations. “Les syndicats voient les choses différemment et combattent un compromis largement soutenu avec une rhétorique agressive et populiste, avec une campagne qui répand malheureusement de nombreuses contre-vérités”, fait remarquer Marc Rüdisüli.

La stratégie des syndicats est transparente : “Ils bloquent la réforme de la prévoyance professionnelle parce qu’ils préféreraient abolir le système éprouvé des trois piliers. Leur véritable objectif est une retraite populaire – une mission suicide pour le système de retraite suisse. La campagne de votation malhonnête des syndicats est un témoignage de faiblesse de la gauche”, déclare Jonas Lüthy, président des Jeunes Libéraux-Radicaux.

Pour une prévoyance vieillesse qui rétablit l’équité entre les générations
Jonas Lüthy souligne l’urgence du projet : “Actuellement, la population active, et en particulier les jeunes, se font arnaquer par un taux de conversion trop élevé. Cette redistribution des assurés qui travaillent vers les nouveaux retraités est immédiatement réduite par la réforme de la LPP – une étape nécessaire et juste”. Il est important de souligner qu’environ 85% des assurés ne sont pas concernés par la baisse du taux de conversion. “Celles et ceux qui veulent garantir le système des trois piliers pour l’avenir doivent approuver cette réforme. Spécialement pour nous les jeunes, elle apporte plus d’équité dans la prévoyance vieillesse”, conclut Jonas Lüthy.

De nombreux jeunes s’inquiètent pour leur prévoyance vieillesse. “Les jeunes ont besoin d’un système de retraite dans lequel ils ont confiance, et qui tient ses promesses en vue de leur retraite. Notre système de retraite est un édifice dont l’équilibre repose sur la stabilité des trois piliers qui le soutiennent”, explique Gwenaël Richard, coprésident des Jeunes Vert’libéraux. “Le syndicaliste Pierre-Yves Maillard s’attaque au marteau-piqueur au deuxième pilier soutenant notre prévoyance vieillesse. Et nous sommes là pour débrancher ce marteau-piqueur”, explique Gwenaël Richard.

Pour les retraités actuels, cette réforme ne change rien. Leurs rentes restent les mêmes. C’est à eux que Gwenaël Richard s’adresse : “J’invite tous les retraités à voter oui. Ils ne sont pas concernés par le projet, mais leurs enfants et petits-enfants continueront ainsi à profiter du système des trois piliers”.

Les femmes en particulier sont les gagnantes de la réforme de la LPP
Pour Lea Blattner, co-présidente des Jeunes PEV, la réforme représente un progrès important pour les femmes. “La réforme de la LPP améliore la prévoyance vieillesse et la sécurité financière de nombreuses femmes à la retraite”, déclare Lea Blattner. Bien que les femmes et les hommes reçoivent la même rente dans l’AVS, la situation est différente dans la prévoyance professionnelle : un tiers des femmes ne sont jusqu’à présent pas assurées, ce qui contribue à la précarité des personnes âgées. “Sur les 359’000 personnes au total qui profiteront de cette réforme et recevront une rente plus élevée, 275’000 sont des femmes”. C’est pourquoi la réforme est soutenue, entre autres, par les paysannes et les femmes rurales, la ligue des femmes catholiques ainsi que l’alliance des organisations féminines suisses Alliance F.

La réforme de la LPP marque une étape importante pour nous, les jeunes. L’alliance des jeunesses de parti s’engage pour l’équité entre les générations et pour une prévoyance professionnelle moderne et adaptée à notre époque.

Début de saison du championnat suisse de football : carton rouge pour le modèle en cascade insensé & les sanctions collectives !

C’est avec une grande impatience que les supporters et les clubs attendent le début de la nouvelle saison de Super League. Le coup d’envoi de la nouvelle saison ne marque pas seulement le début de matchs passionnants, mais soulève également des questions sur le modèle en cascade nouvellement en vigueur. Les Jeunes Libéraux-Radicaux ont décerné un carton rouge au modèle de la CCDJP.

 

La baisse de la violence des supporters comme point de départ

Ces dernières années, les matchs de football ont régulièrement été le théâtre de violences et de dommages matériels. Le « tableau de la situation du sport en Suisse (GSLS-Reporting)” de la Plate-forme de coordination policière pour le sport (PCPS) montre toutefois que, depuis le début de l’enquête, il n’y a jamais eu aussi peu de cas d’affrontements violents graves en Super League, par rapport au nombre de matches, que lors de la saison 2023/24. Et ce, à une époque où de plus en plus de supporters affluent dans les stades.

 

Modèle en cascade contre-productif de la CCDJP

Malgré la baisse de la violence, la CCDJP mise, à partir de cette saison, sur le modèle dit en cascade, comme cela a été annoncé en mars de l’année dernière. Il ressort de la pratique ainsi que de différentes études scientifiques que les punitions collectives conduisent le plus souvent à une solidarité entre les supporters avec un potentiel d’escalade supplémentaire. Les sanctions collectives en réponse au comportement d’individus et les restrictions qu’elles peuvent entraîner pour d’innombrables personnes pacifiques et non impliquées sont inacceptables pour la ligue et les clubs et témoignent de l’impuissance et du désarroi des autorités. Il est donc compréhensible que la Swiss Football League (SFL) et les clubs de football rejettent unanimement ce modèle. Pour Jonas Lüthy, Président des Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair que “les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse condamnent la violence des supporters sous toutes ses formes. Le modèle en cascade de la CCDJP est toutefois disproportionné et totalement inadapté en raison de la criminalisation globale des supporters de football, de la responsabilité causale et des peines collectives. Ceci est particulièrement vrai au vu du recul de la violence des supporters et des connaissances scientifiques concernant la dynamique des groupes de supporters”.

 

Douteux du point de vue de l’État de droit – Les punitions collectives sont indignes d’un État de droit liberal

Le fondement juridique des punitions collectives doit pour le moins être remis en question. Pour qu’une mesure étatique soit proportionnée, elle doit, selon la jurisprudence du Tribunal fédéral, poursuivre un but légitime, être appropriée, nécessaire et proportionnée. Les fermetures de secteurs, les matches à huis clos et les annulations de matches sont certes possibles en vertu de la loi, mais dans de nombreux cas, ils ne sont ni appropriés, ni conformes à l’objectif, ni nécessaires ou proportionnés pour empêcher de futurs actes de violence. En bref, le modèle en cascade mélange prévention et répression avec les sanctions collectives, ce modèle est indigne d’un État de droit libéral.

 

Des mesures de désescalade sont nécessaires

Pour les Jeunes Libéraux-Radicaux Suisse, il est clair qu’il faut agir pour réduire les débordements de supporters autour des matchs de football. Comme dans d’autres domaines, une répression trop forte n’est que partiellement prometteuse pour empêcher la délinquance. Outre les approches coopératives, telles qu’un dialogue accru, il est nécessaire de renforcer les mesures d’identification des auteurs et de poursuite des délinquants individuels.

La grève des femmes utilisée pour servir l’agenda politique de la gauche – les femmes bourgeoises ripostent !

La grève des femmes utilisée pour servir l’agenda politique de la gauche – les femmes bourgeoises ripostent !

 

Cette année, la grève féministe se déroule sous le mot d’ordre « Non à l’arnaque sur nos rentes LPP ». Les jeunes politiciennes bourgeoises ne se laissent pas faire.

 

Plusieurs femmes des Jeunes Libéraux-Radicaux, des Jeunes du Centre et des Jeunes UDC prennent part à la grève des femmes en protestant en faveur de la réforme de la LPP sur laquelle nous voterons le 22 septembre prochain. La réforme comble les lacunes actuelles dans le 2ème pilier pour les personnes travaillant à temps partiel ou cumulant plusieurs jobs. Les femmes en profiteront tout particulièrement.

 

Une étude réalisée sur mandat de l’organisation faîtière des femmes alliance F a montré que la réforme de la LPP permettra à quelque 359’000 personnes, dont 275’000 femmes, d’obtenir une rente plus élevée. Les femmes profitent donc bien plus que la moyenne de la réforme.

 

Les syndicats instrumentalisent de plus en plus la grève des femmes pour leurs intérêts politiques, en attisant peurs et incertitudes. Les femmes des jeunes partis bourgeois se défendent. La réforme de la LPP est un compromis largement soutenu. Celles et ceux qui défendent les intérêts des femmes voteront clairement OUI à la réforme de la LPP le 22 septembre.

 

 

Melanie Racine, vice-présidente des Jeunes Radicaux Suisse

“Les syndicats et la gauche utilisent la grève des femmes pour leurs projets politiques. Nous, Jeunes Libéraux-Radicaux, nous y opposons. Les femmes sont une fois de plus présentées comme des victimes, alors que la réforme de la LPP apporte de nombreux avantages. Avec la réforme LPP, les personnes travaillant à temps partiel seront également assurées”.

 

Nina Gisler, vice-présidente des Jeunes du Centre Suisse

“En Suisse, les rentes des femmes sont inférieures d’environ un tiers à celles des hommes. La réforme de la LPP est une étape importante dans la résolution de ce problème : elle permet enfin de mieux assurer le travail à temps partiel et les bas salaires, ce dont profiteraient de nombreuses femmes.”